Un bilan du mois d’août (RV initié par Lilie) pour commencer :
Côté littérature de jeunesse, de très jolies choses, d’excellents
moments de lecture…
Comment bien rater ses vacances d'Anne Percin
Doglands de Tim Willocks
Sans âme de Gail Carriger
Le premier défi de Mathieu Hidalf de Christophe Mauri
Moi Ambrose roi du scrabble de Susin Nielsen
Dear George Clooney de Susin Nielsen
La Déclaration de Gemma Malley
Le châtiment des hommes-tonnerres (L'Agence PInkerton tome 1) de Michel Honaker
Madame Pamplemousse et ses fabuleux délices de Rupert Kingfisher et Sue Hellard
Si je ne devais en retenir qu'un ?
Mais le mois d’août fut aussi celui du retour à la littérature pour
adultes, bien plus qu’en juillet. Avec une relecture :
Mais aussi des déceptions (relatives, il n’y a pas eu de livre
abandonné) :
D'un bord à l'autre (Chroniques de San Francisco 5) d'Armistead Maupin
et surtout:
Et des confirmations ou de belles découvertes :
Unlike A Virgin de Lucy-Anne Holmes
Replay de Ken Grimwood
Sur un lit de fleurs blanches de Patricia Parry
et surtout:
Au total, 12 livres lus (certains billets ont été rédigés sur des
lectures de fin juillet).
Un bilan de l’été :
Pour moi, beaucoup de littérature de jeunesse, pour ados. J’y ai bien
sûr un intérêt professionnel, mais je ne vais pas me voiler la face, j’adore
lire ces romans. D’abord, la fatigue ressentie en juillet m’a conduite à
prendre le chemin de lectures moins exigeantes en termes narratifs, ce qui ne
signifie pas que ces lectures soient nécessairement moins
« profondes ». Ensuite, quelques baisses de moral m’ont amenée à
trouver refuge dans une littérature moins sombre que celle que je lis
d’habitude, que ce soit en roman noir ou en roman tout court. Il y a quelque
chose de rafraîchissant à se plonger dans les préoccupations de héros
adolescents, et les romans que j’ai lus font souvent la part belle à l’humour
et au « happy end ». Cela m’a fait un bien fou, et j’entends bien
continuer pendant l’année !
Au final, 26 livres (dont 3 BD) dévorés cet été, soit un rythme de
lecture bien plus frénétique que pendant le reste de l’année. Plus de temps,
plus de disponibilité d’esprit aussi… L’idée que je vais moins lire pendant les
mois à venir me désole déjà : entre la fatigue, les préoccupations et
contrariétés professionnelles et les lectures obligatoires, c’est une fatalité.
Pourtant, ce ne sont pas les envies qui manquent en cette rentrée…
Outre que ma PAL reste TRES fournie, la rentrée littéraire me
démange ! En attendant le Jean Echenoz et le Patrick Modiano, au mois
d’octobre, j’ai repéré quelques romans qui me font très envie.
Bizarrement, le Philippe Djian.
Je dis « bizarrement » car j’ai envie de lire Djian à chaque
nouvelle sortie, je suis déçue à chaque fois, et je continue !
Le roman d’Aurélien Bellanger dont on parle tant m’intrigue. J’ignore
si je craquerai, il n’est pas au top de mes envies, tout de même.
Le roman de Jennifer Egan, feuilleté l’autre jour à la librairie, me
tente assez.
Surtout, arrivent en tête de mes envies de rentrée littéraire :
Le nouveau roman d’Olivier Adam
Et quelques polars ou romans noirs :
Les Apparences de Gillian Flynn
Le Monde à l’endroit de Ron Rash (il n’est pas publié en collection polar mais au vu de
l’argument et de ce que fait habituellement l’auteur, je mettrais ma main au
feu que c’est un roman noir)
Dernière nuit à Montréal de Emily St. John Mandel
En plus, histoire de me tenter davantage, tous existent en e-book, je n'aurai donc pas mauvaise conscience en rajoutant une pile de livres quelque part dans la maison... Seul le dernier est un peu plus difficile à trouver que les autres (sachant que je n'utilise pas de Kindle), mais j'ai fini par le dénicher, même si ce n'est pas sur l'un des sites que j'affectionne pour les e-books.
Et je sens que ce n’est pas fini…
4 commentaires:
j'ai très envie de lire dernière nuit à montréal...
et détrompe toi sur le Ron Rash. Ambiance grands espaces type Gallmeister, roman plutôt initiatique. Un beau et bon roman qui renoue plutôt avec l'esprit de son premier "un pied au paradis", mais quand même beaucoup moins noir/polar !
Enfin j'ai quand même hâte d'avoir ton avis si tu craques...
(et sinon j'ai adoré le Djian!)
J'ai d'ores et déjà acheté Dernière nuit à Montréal et vais le lire sans tarder, je te dirai! Le Ron Rash ne devrait pas tarder à rejoindre ma PAL... tout comme le Djian!
Comme toi, j'aime bien la littérature ado, sa fraîcheur, son intensité souvent aussi. Et le fait que ça se termine plutôt bien... ça évite de voir le monde en noir! :-)
C'est exactement ça, ça fait du bien!
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