vendredi 11 janvier 2013

L'effet Dannemark


Premier symptôme de "l’effet Dannemark" : j’ai eu envie de regarder une comédie hollywoodienne et mon choix s’est porté sur La femme modèle, de Vincente Minelli. J’ignore si je vous infligerai régulièrement mes plaisirs cinéphiliques, mais j’ai passé un si bon moment en regardant ce film que j’ai eu envie de vous en parler (billet demain).
Pour rendre un petit hommage à Francis Dannemark dont j’ai malmené le roman dans mon billet, voici une photographie d’un cinéma bruxellois, disparu je suppose.

3 commentaires:

Francis Dannemark a dit…

Vous l'aviez malmené, certes, mais plutôt gentiment. Il y a une affaire de sympathie par rapport à un livre, quelque chose qui arrive ou... qui n'arrive pas. Lorsqu'on a écrit un roman (et moi, j'en écris depuis si longtemps), on ne peut en aucune manière être blessé si quelqu'un dit, comme vous le faites : "Je suis passé à côté, dommage." Ce qui me fait vraiment plaisir, c'est d'avoir pu vous donner l'envie de refaire un tour dans le monde magique de l'âge d'or hollywoodien et du cinéma en général. Bien cordialement. Francis Dannemark

Tasha Gennaro a dit…

Votre message me touche infiniment. C'est curieux, la rencontre avec un livre, il y a des moments pour être touché(e), et c'est peut-être ça qui n'allait pas. En tout cas, j'ai commencé à prêter le roman autour de moi, car ce n'est pas parce que je suis passée à côté que d'autres ne vont pas aimer. Je dois avouer d'ailleurs que je repense souvent à vos personnages, à la maison... J'y ai pensé aussi parce qu'il a neigé, et qu'il neige beaucoup dans votre roman (vous devez me trouvez stupide!). Enfin, oui, il y a "l'effet Dannemark" et rien que pour ça je vous suis reconnaissante.

Tasha Gennaro a dit…

"me trouver" serait mieux, non?