Pas tant de lectures que souhaité, mais de beaux moments en
ce mois de juin.
Je commence tout de même par un rendez-vous manqué, et je
n’y comprends rien moi-même. J’ai calé à presque la moitié du roman de Chris
Offutt, Le bon frère, pourtant lu et
aimé à sa sortie jadis, dans La Noire ; j’étais persuadée de me laisser
emporter comme alors avec cette réédition de Gallmeister, et puis non. L’ennui
m’a étrangement gagnée et j’ai fini par renoncer. Sans doute n’était-ce pas le
bon moment.
J’ai dévié du polar pour lire Une histoire naturelle des dragons de Marie Brennan, repéré grâce
aux Imaginales, et j’ai passé un délicieux moment. Je n’insiste pas, je vous en
ai parlé.
J’ai lu un OVNI littéraire dont je ne sais trop que penser, Orgasme de Chuck Palahniuk. Disons que
je suis partagée sur cet étrange roman, comme je vous l’ai expliqué.
Et puis je suis revenue au polar, avec Sam Millar et Un sale hiver, efficace, noir et
passionnant. Mon goût pour la série consacrée au privé Karl Kane se confirme.
Histoire de m’enfoncer dans la noirceur, j’ai plongé ensuite
dans Cry Father de Benjamin Whitmer,
qui patientait depuis un moment sur l’Empire State Building qu’est devenue ma
PAL.
Et pour finir le mois de juin, j’ai dévoré Tout ce qu’on ne
s’est pas dit de Celeste Ng : j’ai aimé, mais c’est une lecture bien
sombre…
Millar, Brennan, Whitmer, j’aurais tout de même bien du mal
à faire mon choix s’il fallait n’en garder qu’un.
L’été arrive et je commence un must pas tout récent, Le bibliothécaire de Larry Beinhart.
L’été arrive et je commence un must pas tout récent, Le bibliothécaire de Larry Beinhart.
Bel été à tous !
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