samedi 2 juillet 2016

Un bilan pour juin (2016)



Pas tant de lectures que souhaité, mais de beaux moments en ce mois de juin.
Je commence tout de même par un rendez-vous manqué, et je n’y comprends rien moi-même. J’ai calé à presque la moitié du roman de Chris Offutt, Le bon frère, pourtant lu et aimé à sa sortie jadis, dans La Noire ; j’étais persuadée de me laisser emporter comme alors avec cette réédition de Gallmeister, et puis non. L’ennui m’a étrangement gagnée et j’ai fini par renoncer. Sans doute n’était-ce pas le bon moment.
J’ai dévié du polar pour lire Une histoire naturelle des dragons de Marie Brennan, repéré grâce aux Imaginales, et j’ai passé un délicieux moment. Je n’insiste pas, je vous en ai parlé.
J’ai lu un OVNI littéraire dont je ne sais trop que penser, Orgasme de Chuck Palahniuk. Disons que je suis partagée sur cet étrange roman, comme je vous l’ai expliqué.
Et puis je suis revenue au polar, avec Sam Millar et Un sale hiver, efficace, noir et passionnant. Mon goût pour la série consacrée au privé Karl Kane se confirme.
Histoire de m’enfoncer dans la noirceur, j’ai plongé ensuite dans Cry Father de Benjamin Whitmer, qui patientait depuis un moment sur l’Empire State Building qu’est devenue ma PAL.
Et pour finir le mois de juin, j’ai dévoré Tout ce qu’on ne s’est pas dit de Celeste Ng : j’ai aimé, mais c’est une lecture bien sombre…
Millar, Brennan, Whitmer, j’aurais tout de même bien du mal à faire mon choix s’il fallait n’en garder qu’un.
L’été arrive et je commence un must pas tout récent, Le bibliothécaire de Larry Beinhart.
Bel été à tous !



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