Voici
un mois de mars enthousiasmant, dont j’ai envie de retenir les lectures les
plus fortes et les plus passionnantes. Je serais bien en peine de dégager LA
lecture du mois… Il y a eu le retour de Wessel Ebersohn, La tuerie d’octobre est un roman puissant auquel je repense… Il y a
un nouveau Craig Johnson, Molosses, et
celui-là aussi, j’y repense, avec un grand bonheur. Et enfin je ne vais pas
bouder mon plaisir : La muraille de
lave de Arnaldur Indridason a été un très bon moment de lecture, qui m’a
fait renouer avec cet auteur que j’avais délaissé.
Hors
polar, dans la fantaisie polareuse, il y a eu un savoureux Janet Evanovich, et
puis une découverte, un roman de Darynda Jones, premier volume d’une série que
je vais assurément poursuivre (billet à venir).
Côté dystopie et roman jeunesse, j’ai aimé Icônes de Margaret Stohl, mais j’ai aussi lu et adoré les tomes 2
et 3 de Hunger Games de Suzanne Collins.
A
cela s’ajoutent des BD formidables et une seule déception (Tel Aviv Suspects)…
Un
joli mois de mars, avec un essoufflement ces derniers jours, rien à voir avec ma
lecture du moment (Brooklyn Follies
de Paul Auster), un peu de fatigue et du mal à me concentrer…
Comme
j’ai du mal à lire au même rythme que d’habitude, je regarde films et
séries : True Detective m’a
bluffée, comme vous le savez ; j’ai commencé House of Cards, pas certaine d’accrocher… J’ai vu Somewhere de Sofia Coppola et comme
toujours (jusqu’ici), le charme opère sur moi ; Le Diable en robe bleue, qui a déjà quelques années, adapté d’un roman
de Walter Mosley, une très agréable surprise ; Les Nerfs à vif de Martin Scorsese, un peu longuet pour moi et bien
trop grand-guignolesque…
2 commentaires:
J'ai essayé "House of Cards", sur quelques épisodes de la saison 1, mais je n'ai pas poursuivi : je trouve que, une fois qu'on a compris que ça va donner dans le cynisme à fond, façon jeu-de-massacre-pour-faire-tomber-tous-ceux-qui-m'ont-fait-du-tort ... eh bien, il n'y a plus guère de surprise (ou alors elles viennent après, mais je n'en ai pas l'impression, compte tenu de ce que j'ai pu lire sur la suite). OK, le héros est machiavélique au possible, mais ça ne suffit pas pour que je le regarde opérer pendant des heures.
J'ai eu exactement ce sentiment ! OK, des politiciens cyniques, aucune surprise, quoi... :-) Je n'ai d'ailleurs pas continué, c'est dire... Un jour peut-être, mais j'ai tant d'autres séries à regarder (c'est comme les livres, les DVD se sont accumulés).
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